Début Octobre

Le destin... Quelle curieuse divinité qui nous fait vivre tant d'émotion et d'épreuve. La jeune femme était plongée dans une réflexion philosophique qui n'aboutissait à rien. Encore une fois. Elle réfléchissait trop et sans avoir de réponse à ses plus profondes inquiétudes. L'absence de sourire ne changea peu de son habituel visage sauvage. À croire que la blonde n'était jamais heureuse. À l'intérieur de l'école, il y avait trop de bruit, trop de parole et de rire. Elle se sentait mal confiné avec trop d'être surnaturelle qu'elle ne comprenait pas. Elle en était pourtant une et ne comprenait nullement la nature de sa '' malédiction '' comme sa mère ne cessait de lui rappeler. Maudit était les enfants nés à minuit juste... à bien savoir pourquoi cette heure était si spéciale pour eux. La blonde ne s'était même pas donné la peine de se coiffé. Elle pourrait être encore plus belle si seulement elle prenait le temps de faire quelques efforts. D'ailleurs, elle était tombée sur un livre dans une vente de garage qui datait des années 40 environs. Il avait pour titre: Il n'y a aucune femme laide, seulement des femmes paresseuses. Intrigué, elle l'avait acheté à un prix ridicule. Elle ne l'avait même pas encore lu. Cependant, le titre était révélateur. Bref, elle était une de ses femmes paresseuses qui ne prenait pas le temps de se mettre belle pour monsieur.

La jeune femme avait pris refuge sous un arbre. Un grand et vieux chêne qui prenaient tranquillement une teinte de rouge. Il devait faire partie des Quercus Rubra pour avoir une belle teinte automnal. Calepin en main, crayon de plomb dans l'autre, elle dessinait un visage qu'il lui était familier. Celui de son frère... Il était venu lui rendre visite dans son rêve cette nuit. Il posait toujours la même question : Pourquoi si loin sauvageonne ? Elle était fatiguée des visites de son frère dans ses rêves. Alors, elle le dessinait pour se libérer de lui et de sa vie parfaite qu'elle n'aurait jamais à cause de sa ''malédiction ''. Cette pensée raviva sa colère et elle appuya trop fort sur son crayon brisant la mine par la même occasion. Elle arracha la page et la chiffonna pour la lancer loin d’elle. Un geste pas très environnemental. Oui, Tiffany était une fille colérique. Sa colère était principalement liée à sa famille. Seule des Knobbs a avoir la malédiction, elle devenait le mouton noir de la famille de son défunt père.

Elle sortie de son sac à dos, un petit lecteur de musique qu'elle déposa sur ses oreilles. Elle sélectionna une chanson, Chop Suey du Groupe System of a Down. Elle ferma les yeux pour se laisser porter par la musique. Elle était redevenue calme. Heureusement sinon, elle n'aurait su gardé sa forme humaine. Au loin, il y avait quelques élèves qui étudiaient tout en profitant d'une des rares journées d'automne où la pluie n'était pas au rendez-vous. C'était une chance pour eux car, bientôt ce petit plaisir ne sera que possible dans les serres de l'école. Son dessin chiffonné se laissa porter par le vent. Sûrement que son geste ne passa pas inaperçus. Le dessin voyagea jusqu'au pied d'un autre élève. Il eut la réaction de lui donner un coup pied. Puis, le dessin reprit sa route jusqu'à un autre...

Octobre, j’aimais cette saison, avec ses couleurs que prenais les feuilles des arbres. En plus il ne pleuvait pas. C’était une journée à ne surtout pas resté à l’intérieur. Je m’imaginais bien Hiroto entré et nous mettre à l’extérieur, tirent Shin par l’oreille parce qu’il aurait sorti un tas de raison de resté là. La nourriture de ma mère par exemple. Hiro disent que justement de l’exercice lui ferais du bien. Et que pour un loup il passait peu de temps à l’extérieur. Asuna qui regardait en riant et en ne manquant pas de commenté, Lin qui suppliais Hiro de lâcher Shin et moi qui  poserais la main sur son épaule lui indiquant que le jeune loup avais compris. Hiroto aurais acquiescé et libéré Shin et tout ça s’en prononcé la moindre parole. Bien sûr il y aurait eu Yusuke qui nous couvrais de son regard, restent en retrait, gêten les alentours tout comme un grand félin protègent sa famille. Enfin avant il l’aurait fait, mais plus maintenant. La scène me fessais à la fois sourire et un pincement au cœur. Le fait que je n’avais pas pu aller au Japon pour mon anniversaire et pour aller sur la tombe de Yusuke, me rappelais la distance qui nous séparais. Comme j’aurais aimé qu’ils soient plus près. Vivement le temps où je pourrais les revoir. Évidement que je gardais contacte, on se parlait souvent grâce a un forfait appel planète entière. Une brise souffla me fessent lever la tête, respiré l’air frai, affichant instantanément un sourire à mon visage.

Je continuai à avancer sen vraiment savoir ou je me dirigeais vraiment. La forêt me tentait bien. Courir me ferais du bien. Pas aussi vite que les loups et les vamps, mais ça m’étais bien égale. Moi je pouvais prendre la forme d’un oiseau, un faucon pèlerin qui était l’oiseau le plus rapide. C’était ce que j’avais entendu dire. Ou en panthère noir, allant de plus en plus vite, évitent les obstacles avec aisance et élégance. Dans mes panser, je pris la route de la forêt ne m’occupent pas vraiment de ce qui m’entourais. Ce fut le bruissement d’une feuille de papier qui me fit revenir à la réalité. Je baisse les yeux, j’avais accidentellement marché sur la feuille en question. Je me penchai pour la ramasser. Elle était froissée, un dessin raté, une composition qui n’étais pas à la hauteur des attentes de l’auteur. Il y avait un grand nombre de possibilité. Ou juste un pensionnaire qui avait voulu  faire un jouet a son animal, comme un chat par exemple. Je la dépliai par curiosité et y découvrit un dessin. Un visage masculin. On avait trop appuyé sur la mine et avais laissé une marque. Je jetais un coup d’œil aux alentour, cherchant l’auteur du dessin. Je m’arrêtai sur une fille blonde assisse sous un grand chêne. Elle était en train d’écouter de la musique, mais je voyais aussi un calepin et le crayon a mine juste à côté, posé sur le sac. Je me rapprochai d’elle en ne sachant pas vraiment ce que j’allais dire. Elle avait l’air calme, mais son dessin chiffonner et jeté au loin disais autre chose. Tiffany, c’était son nom, nouvelle de cette année. Je ne l’avais jamais vu sourire jusqu’à présent. Elle était une Méta.

Je ne savais pas comment l’aborder, puis la situation me rappela ma rencontre avec Yusuke. Elle ne paressait pas triste, mais visiblement en retrait, seul. Comme beaucoup  en arrivent ici. Je pris une inspiration, mon premier contact avec Yusuke n’avais pas été comme je l’aurais voulu, mais tout ne pouvais pas être facile. Y aller doucement. Une fois juste devant elle, je me raclai la gorge pour tenter d’attiré son attention. Une fois acquit je me penchai et lui tendis la feuille que j’avais défroissé du mieux que je pu.

-Je crois que c’est à toi.

J’effectuai une pause.

-Je ne sais pas ce qui a provoquer que tu le chiffonne, mais je peux te dire que tu as un bon coup de crayon.

Lui dis-je en lui offrent un doux sourire.Je rejetai un autre coup d’œil au dessin. ‘’ Je n’ai pas ce talent. ‘’Me dis-je a moi-même. Puis je m’aperçus que je ne m’étais pas présenté. Je tendu une main vers elle.

-Moi c’est Wataru.

Son dessin avait voyagé, porté par le vent automnal, jusqu'au garçon asiatique qu'elle avait déjà croisé sans plus à la cafétéria. Elle avait croisé de nombreux visages et certain l'avait marqué plus que d'autre. Elle était loin de se douter qu'un jour, il serait devant elle pour lui parler. C'était pour elle inconcevable qu'on veuille d'elle dans son cercle d'ami. D'ailleurs avec ses yeux fermés, sa musique sur les oreilles, elle n'avait nullement pas remarqué la présence du jeune homme. Lorsqu'il toussa pour faire acte de présence la jeune femme sursauta. Ses yeux bleus prient une teinte grisâtre. Elle reconnue le jeune homme devant elle. Lorsqu'il l'aborda, la jeune fille lui lança un regard farouche en retirant ses écouteurs.Elle se demandait que pouvait bien vouloir le garçon asiatique. Elle eut sa réponse dans l'assez vite. Lorsqu'elle vit son dessin. Sa colère fut revive par la même occasion. Ce n'était pas complètement la faute du garçon. Elle lui en voulait, se n'était pas un secret pour personnes qui la connaissait bien. Qui veut dire personne dans cette ville. Le problème avec la colère c'était la réaction de sa ''malédiction '' qui réagissait trop bien sous la colère et voilà que le garçon, aussi gentil soit-il eu le malheur de lui remettre le dessin sous le nez. Pas de chance pour Tiffany. La métamorphose débuta. Malgré la douce voix du garçon, elle n'entendit nullement le nom et eu à peine le temps de voir la main qu'elle était devenue un petit chat au pelage presque blanc. Un peu de roux était visible sur ses oreilles, du gris aussi sur le corps. Le plus frappant était que ses pattes étaient toutes blanches.

« Grrrrr » répondit-elle au garçon. Tiffany devenue chat sortit ses griffes pour déchirer son oeuvre. Geste qui prouvait qu'elle était en colère noire contre le dessin - plutôt contre la personne qu'il représentait. Le garçon eu la gentillesse de lui retiré le dessin de sous les yeux. C'était un point pour lui. Le geste rapide du garçon lui empêcha d'atteindre le visage sur la feuille. Seule le bord de la feuille avait été touché. Maintenant, qu'elle était un adorable chat, elle était vulnérable devant le garçon. Heureusement, elle n'avait plus à se cacher et à inventer des histoires à dormir debout pour justifier ses disparitions. Dans cette école, elle n'était pas seule à ne pas contrôler ses pouvoirs. Pauvre garçon, il n'aurait d'autre choix que de recommencer sa présentation.

Elle sursauta  lors qu’elle entendit mon toussotement et je vis ses yeux changer de couleur. De bleu à gris, son regard était farouche. Comme un animal qui se demande pourquoi est-ce que quelqu’un l’aborde. Ça ressemblait d’avantage ma rencontre avec Asuna. Le sentiment que personne ne voudrais d’elle, la peur, la méfiance. Le scintillement, l’air qui se raréfie tout autour d’elle. Tiffany étais en processus de transformation. Je le voyais dans la configuration de son cerveau. Mon cœur se serra, ce n’étais pas de tout mon intention de la faire perdre le contrôle. Main tendu, venant de me présenter et la transformation fut complète. Ce n’est pas vrai, je fermai les yeux. Les rouvrant en entendent ses petites griffes s’en prendre au dessin. Je le récupérai rapidement, le chiffonna et le fourra dans l’une de mes poches arrière pour le retiré de sa vue.  

-Hontōni gomen'nasai.

Dis-je en me traitent intérieurement de tous les noms. Je ne savais pas quoi dire d’autre. J’avais été stupide de lui mettre le dessin sous les yeux, si elle l’avait chiffonné de la sorte il devait bien y avoir une raison. Je me laissai tomber en position assisse, baissent la tête.

-Je suis vraiment désolé.

Un frisson me parcouru. Mes paroles étaient sincères, je poussai un petit soupir. Pris une bonne inspiration et reposa mes yeux sur elle. Je m’approchai d’avantage tout en gardent une distance respectueuse.

-Regarde, je suis comme toi.

Dis-je en pointent ma tête avec un doigt, un doux sourire aux lèvres. Voyant qu’elle ne comprenait pas j’entrepris de lui montrer. Je visualisai l’animal dans ma tête. L’air se raréfia autour de moi, le scintillement m’enveloppa graduellement. Puis totalement. Au bout d’instant elle s’évapora pour laisser place à un petit animal de type félin. Un chat taille adolescent au pelage sable et aux yeux doré. Je voulais lui montré que ce n’étais pas une malédiction, que sa pouvais être contrôlé et surtout que j’étais comme elle. Tout Métamorphes étais passé par cette passe ou il vient à se demander s’il est vraiment possible de choisir lors qu’on se transforme et en quoi. C’était un long apprentissage, l’école et ses cours étaient là pour nous y aider. Il fallait y mettre du sien aussi. Le vouloir, persévéré, ne pas renoncé. J’avais eu de la chance en naissent dans une famille Métamorphe, un quartier composer que de Surnaturelles. Yusuke m’avais beaucoup aidé, mes parents aussi et voilà que j’arrivais dans cette école qui aussi m’aiderais. J’en avais passé des cours à m’entrainer et tout pour en arriver ou j’en étais rendu aujourd’hui. Trois ans, cette année étais le début de la quatrième.

La poussière évapora et c’était de nouveau moi.  Passent par le scintillement et l’air qui se raréfie. Un sourire compréhensif au visage.

-Tu n’es pas seul.

Perdre le contrôle n'était jamais amusant pour personne. Tiffany détestait perdre le contrôle sur ça ''Malédiction''. Elle ne se plaignait pas non plus. Depuis son arrivée à cette curieuse école, elle avait découvert que certain don, était plus dangereux que d'autre. Un loup-garou pouvait être très dangereux s'il perdait le contrôle et souvent ses instincts étaient plus forts que leurs volontés. Elle, en tant que métamorphe, elle pouvait choisir dans la limite du possible un petit animal. Une fois, elle était devenue une belle louve blanche... créant la panique dans la ville. C'était le point positif qu'elle avait vu dans sa ''malédiction ''.

Toujours sous forme de chat, le garçon devant elle réagit à sa transformation. Il enleva le dessin maudit de sous les yeux et marmonna quelques choses qu'elle ne comprenait pas. Une autre langue. Curieusement, elle faisait souvent ça, avec sa famille, sa tante qui ne parlait qu'anglais. Combien de fois, elle avait utilisé à langue française devant sa tante. Pourtant, elle connaissait très bien l'anglais. Quand on est né dans une famille qui parle autant français qu'anglais, tu n'as pas vraiment le choix. La jeune femme miaula après ce commentaire. Un miaulement qui voulait dire'' quoi ? Ou hein ??? ''

Le jeune garçon s'excusa - il était mieux ou elle le griffait. Tiffany était un peu excessive dans ses pensées. Encore une pensée qu'elle n'aurait pas le cran de le dire de pleine voix. C'était parfois mieux ainsi. Puis, il continua. Qui il était comme elle ? Elle le regarda bizarrement. Elle le prit au premier degré du terme avant de comprendre ce qu'il voulait dire. Elle soupira de sa stupidité. Le garçon se transforma devant elle. C'était vraiment magnifique à voir. Surtout lorsqu'il s'instilla. Le garçon disparu et il se transforma en chat au pelage sable aux yeux doré. Elle était blanche-grise avec une touche de roux pâle aux yeux bleue éclatant. Rapidement, après cette démonstration, il redevenait le garçon qu'il était normalement.

Elle s’assit à la manière d’un chat et ferma les yeux. Elle voulait redevenir humaine et au plus vite. Ce ne fut pas très rapide. Elle calma sa respiration et visualisa une serre remplis de fleur. Cette technique marchée habituellement assez bien. Le hic, cette fois était le garçon devant elle. C’était un peu intimidant. Puis soudainement l’aire devenait rare près d’elle. Elle fut soudainement envahi par un scintillement et lorsqu’il disparu, elle était redevenue humaine. Heureusement pour tout monde, elle avait rapidement reprit sa forme humaine.

«Désolez pour tout ça. Je ne suis pas encore capable de me contrôlé… » dit-elle avec de l’amertume dans sa voix. Elle s'assit en indien par la même occasion.

Cette transformation m’avais fait du bien, ça avait été facile. Preuve qu’un Métamorphe pouvait apprendre a maitrisé ses transformations. Je ne pus m’empêcher de me dire qu’elle était mignonne sous cette forme, surtout lorsqu’elle s’assit et ferma les yeux. Si je lui disais ça elle allait être gêné et retarder sa transformation. Tiffany reprenait son calme, la brillance l’entoura, passent par le même processus. La Tiffany humaine était de retour.

-Désolez pour tout ça. Je ne suis pas encore capable de me contrôlé…

Dit-elle en prenant une autre position assisse. Je fis un mouvement de la main, deux fois d’affiler. Partent du haut, allant vers le bas. Un réflexe de ma vie au Japon.

-Ce n’est rien, je t’assure. J’aurais dû faire plus attention. Te montré le dessin étais une mauvaise idée.

La situation était mieux que tout ait l’heure, moins tendu, sauvage. Je tendis une fois de plus une main vers elle.

-Wataru, je m’appelle Wataru.  

Dis-je dans un sourire. Tout ce qui se passait au alentour avais pour ainsi dire disparu de mon attention. Qu’il y en est qui se soit arrêté pour regarder, m’étais égale et leur commentaire. Et bien s’il avait quelque chose à me dire ils viendraient me le dire en face. Ce n’étais pas nouveau, j’étais gentil et j’aimais faire sourire ceux qui ce sentais triste. Et c’est temps si c’était souvent des filles alors je me retrouvais avec plus d’amies du sexe opposer que masculin. Ce qui ne me dérangeait gère. Ils pourraient peut-être penser que j’étais parfait. Personne ne l’es, il y a toujours un petit quelque chose qui fait pencher la balance, je ne fessais pas exception a la règle. Mais peu ici savais pour mon passé, tout mon passé, ni pour les cauchemars et quand j’avais besoin d’être seul, c’était quelque chose d’on j’avais besoin. Ce n’était pas tout le monde qui pouvait le comprendre. Je m’étais déjà énerver contre certain d’être d’eux qui avais fait pot de colle et jacasserie. Maintenant c’était différent j’arrivais à mieux me contrôler, mais ça restais quelque chose qui pouvais me faire perdre les contrôle si on poussait le bouchon trop loin.    

[HR - désolez du temps de réponse et du court message]

Tiffany détailla attentivement le garçon devant lui. Il lui avait montré qu’une personne de son âge pouvait se contrôler. Il avait cependant un passé bien différent du siens. C’était une évidence pour la jeune femme. Il avait surement connu d’autre être surnaturel comme eux. Elle avait grandi dans une famille spéciale. Ce n’était pas le genre d’histoire dramatique à vous faire dresser les cheveux sur la tête. Juste une histoire à la Roméo et Juliette sans le suicide avec des familles qui ne s’accorde pas avec le choix de ses parents. Bref, elle ne se considérait pas si malchanceuse que ça. Heureusement, pour Tiffany.  Le garçon lui changea les idées en s’excusant. Le dessin était pour elle une source de colère.  Bon, elle essayait de pour trop lui en vouloir.  Cependant, la jeune fille était rancunière. Un fait qui n’aidait pas la blonde.  Ce n’était pas vraiment de la faute du garçon. Il ne pouvait pas savoir. D’ailleurs, il se représenta à elle. C’était une bonne chose vu qu’elle n’avait pas retenu le nom la première fois. Cette fois, elle l’écoutait attentivement. Elle n’allait pas se transformer une nouvelle fois.

« Tiffany » dit-elle simplement au garçon. Il faut avouer qu’en matière de présentation, elle n’était pas très douée.  Il était chanceux d’avoir réussit à avoir son nom. Un miracle même. Elle n’était pas des plus bavardes non plus. Il ne restait qu’à voir comment le garçon allait réagir. Espérant que la patience soit parmi ses très de personnalité.

Un nom, Tiffany. Je laissai retomber mon bras pour le ramener à moi. Je ne lui en voulais pas même que j’étais content. Ce n’était pas tout le monde qui pouvait faire facilement confiance. Moi aussi j’avais quelque réserve envers certaine personne. La confiance se méritait, je devais donc me montrer patient et lui prouver qu’elle pouvait me faire confiance. Un minimum pour que par la suite elle décide si je la méritais entièrement. Premièrement être face à elle pouvait l’intimider alors je me déplaçai pour aller à sa gauche, m’adossent a l’arbre.

-Comment tu trouves ça ici?  

Lui demandais-je en regardent le ciel. Au bout d’un instant je redirigeai mes yeux sur elle et esquissa un sourire.

-Tu n’es pas obliger de répondre.

Dis-je en reposant mon attention vers le haut. La lumière qui passait au travers les feuilles qui commençaient à changer de couleur était enchanteresse. Je fermai les yeux, lorsque j’étais arrivé ici je n’en menais pas large. Tous mes amis étais ailleurs et très loin, sans compté Tara, que je venais de rencontrer. Et l’un d’eux avais été tué en Juillet. Un millier de questions allais et venais dans mon esprit, me torturent. Mais qui aurais voulu la mort de Yusuke? Je secouai la tête, ce juillet ça fessais 4 ans. Depuis le temps ils auraient forcément trouvé quelque chose. De mon côté je me disais qu’ils avaient trouvé, mais ils ne voulaient pas nous le faire partager. Mon visage c’était rembrunie, ce n’est que quelque minute plus tard que je me souviens que je n’étais pas seul. Tiffany l’avais peut-être remarqué, ou pas.

-Moi je me suis rattaché à ceux que j’ai dû laisser au Japon. A leur sourire, a ce qu’ils me diraient. De ne surtout pas abandonner. Et puis on a tous nos talents pour s’évader durent un certain temps. Toi tu as le dessin, moi j’ai le violon. Ça nous permet d’exprimer ce qu’on ressent. Moi ça m’aide à me sentir mieux. A faire que c’est notes s’envole au gré du vent.

Dis-je sen quitté les nuages qui défilaient sur le fond bleu du ciel. J’effectuai une pause pour voir si elle allait dire ou faire quelque chose. Je risquai un regard vers elle. Toute personne réagissais différemment a une même discourt et je ne la connaissais qua peine. Et espérais pouvoir la connaitre d’avantage, nos passions artistique allais peut être faire le lien.

Tiffany lui avait donné son nom. C’était déjà un grand-pas pour la jeune femme qui n’était pas facile d’approche.  C’était bien sur à travailler. Pour ceux qu’il l’avait connu avant, c’était le jour et la nuit. Un jour, alors qu’un garçon s’était approché d’elle, il avait osée l’invité au bal des finissants. Elle l’avait frappé en guise de réponse. Bon, il faut dire que les invitations qu’elle recevait étaient des défis que les garçons se donnaient entre eux que par réelle invitation. Blessez par se manque de tact, elle avait réagis violemment. Bref, vous comprenez que Wataru était chanceux car elle était presque dans ses bons jours.

Elle observa le garçon. Calme et patient, c’était tout le contraire des garçons qui osait l’abordé. Il se déplaça à sa gauche plutôt qu’être en face d’elle. Bien que le geste soit calculé pour le garçon, il restait mystérieux pour la jeune fille.  Elle réfléchit pour en trouvez la raison de se changement. Une hypothèse germa rapidement. Elle n’était pas bien loin du raisonnement du garçon. Il lui demanda comment elle trouvait l’école.

Cette école était encore une source de mystère. Elle ne comprenait pas grand-chose surtout en matière des créatures surnaturelles. Sorcière, Fae, Loup-garou, Vampire étaient pour elle des créatures de conte de fée.  C’est sa vieille voisine qui lui appris qu’elle n’était pas seule et que les créatures de légende étaient réelles. D’ailleurs, la vieille femme l’inscrivait dans cette école en pensant que l’endroit serait mieux pour elle que de rester avec sa famille. Elle allait répondre lorsque le garçon parla avant elle.  Il lui rappela qu’elle n’était pas obligée de répondre.

« Cette école est bizarre… » dit-elle simplement au garçon avant que le silence s’installe entre eux. Quelques minutes plus tard, le garçon lui avoua sa raison d’être venu ici. C’était triste. Vraiment triste. Devant sa famille, elle avait réussit tant bien que mal, a ne pas se faire démasquer. Elle avait appris à fuir lorsque les signes de transformation arrivaient. Et les fois que sa arrivait devant sa famille, il était certain d’avoir consommé de la drogue.

« C’est triste… Ma famille est aveugle. Il se ferme les yeux devant le surnaturelle en passant que je les drogues… » dit-elle simplement en regardant droit devant elle.C'était tout un aveux...