Je me retournai dans mon lit encore tout ensommeiller. J’ouvris grand les yeux lors que je me rendis compte de l’heure que me renvoyais les chiffres lumineux de mon cadrent. Je repoussai les couvertures avec les pieds, m’emmêlant et tomba. Je me redressai et alla m’habiller en vitesse, arrangea mes cheveux devant le miroir. Attrapa l’étui de mon violon et quitta le chalet en trombe. Foutu samedi! Je n’arrivais jamais à me lever tôt la fin de semaine. La journée précédente j’avais enfin terminé la composions. Lorsque j’avais repris je m’étais dit que lorsque je la terminerais je la ferrais entendre à Yusuke et vus qu’il était mort j’allais à mon endroit favori dans la forêt, faute de ne pas pouvoir aller sur sa tombe. De là on pouvait très bien voir le ciel, il s’agissait d’un petit promontoire. Habituellement je ne jouais que bien caché par les arbres, mais cette fois je ne voulais qu’il soit en première loge. J’aimais l’idée qu’il puisse m’entendre  d’où il était. Je courrais par ce que je voulais commencer cette journée sur cette note. Je continuai donc à courir, évitent du mieux que je le pouvais de rentrer en collision avec d’autre élève. Malgré tous mes efforts je bousculai l’un d’eux. Pris dans mon élan je failli chuter, mais me rattrapa. Une fois mon équilibre précairement repris, je me retournai.

-Désolé.

Dis-je simplement avant de repartir à la course, me massent l’épaule endolorie, j’allais avoir un bleu.


J’entrai dans la forêt et me rendis directement au promontoire.

- Gomen'nasai.

Dis-je en arrivent  finalement.

-Mon cadrent a pas sonner. Tu sais comment je suis la fin de semaine…

Je pris le temps reprendre mon souffle avant de poursuivre.

-Je l’ais terminer, je la ferais entendre  aux autres des que je le pourrais.

Je parlais, je parlais, mais il ni avais que moi. Avec une explication je pourrais dire que je parlais à mon ami disparu et que j’aimais l’idée qu’il puisse m’entendre. Je me penchai, ouvris l’étui, l’installa, pris une bonne inspiration et commença. Elle commença en joie, douce, devinent un rire. Puis tout d’un coup ce fut la débandade. Les émotions ne savaient pas où donner de la tête. Plus rude et en éclat. La mélodie alla en s’adoucissent, mais resta tremblante et nerveuse et finalement reviens doucement joie et assurance. Bien entendu la description étais accéléré, la mélodie en elle-même étais longe. Elle racontait la vie d’Asuna, ma sœur comme j’aimais le dire. Aillent pour ainsi dire été adopté par mes parents. Elle comme les autres étais mes frères et sœurs. Pas sur papier ni par le sang, mais de cœur. C’était le plus importent. Donc sa me ferais deux sœur et trois frères don un disparu. Je m’arrêtais, aillant entendu un bruit, je n’étais pas seul. Je me retournai brusquement pour voir de qui il s’agissait.